Mes activités d’auteur déménagent !!!

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Par souci de clarté dans mes articles, je vais désormais séparer mes activités d’auteur de celles de lectrice, même si, comme le nouveau sous-titre du site l’indique, lecture et écriture sont pour moi indissociables.

Itinéraire d’une bibliovore en goguette ne sera désormais plus consacré qu’à mes lectures, d’édités, mais surtout d’auto-édités afin de mettre en lumière des auteurs de talent. Loin de moi l’idée de concurrencer mes amis de la blogosphère littéraire qui chroniquent des romans avec passion et beaucoup mieux que moi, je me limiterai à vous parler de mes lectures personnelles, sans contrainte aucune et en toute impartialité, pour vous donner envie de les découvrir à votre tour si cela vous chante.

Vous pouvez continuer à suivre ce site, mais pour mon actualité d’auteur, ma bibliographie et la boutique sur laquelle vous pourrez vous procurer mes romans dédicacés, accompagnés d’un petit cadeau, les choses seront feront désormais, ICI :

https://www.marjorielevasseurauteur.com/

Alors, à très bientôt !!!

Article mis en avant

Mon avis sur « JUSTE PUNI » d’Anaïs W : sortie officielle le 29 septembre 2018

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En tant que partenaire, j’ai eu la chance de lire « Juste puni » en avant-première et je tiens donc tout d’abord à remercier Anaïs W pour sa confiance. C’est quelqu’un que j’apprécie énormément en tant que personne et une auteure dont j’aime énormément la plume.

J’ai commencé « Juste puni » la semaine précédent mon départ en Bretagne et n’y avais pas retouché pendant quinze jours. Pourquoi ? Je ne sais pas. Peut-être parce que je n’étais pas tout à fait prête à lire ce roman qui, je le savais, allait sûrement me bouleverser et je n’avais pas la tête à ça à ce moment-là.

J’ai donc repris ma lecture de « Juste puni » le 19 août, depuis le début (je n’avais lu que quatre chapitres) et n’ai quasiment pas lâché le roman jusqu’à minuit 15, heure à laquelle je l’ai terminé.

Je suis passée par des tonnes d’émotions durant le récit : la colère, la frustration, la tristesse. Mais comme dans tous les romans d’Anaïs, le message d’espoir est tellement fort qu’il finit par l’emporter.

Alors, oui, c’est un roman très sombre. J’ai souffert à chaque coup reçu par Mathieu, j’ai versé des larmes, malmené mon pauvre oreiller… mais des sourires sont venus s’inviter à certains moments de ma lecture, ceux qui font la part belle à l’amitié, à l’amour, au soutien, à la solidarité, au non-jugement. Tout ce qui fait que ce roman est magnifique, poignant malgré son redoutable réalisme.

On ne sort pas indemne de « Juste puni ». Juste puni… Le titre prend tout son sens quand on connaît l’histoire. Dans l’esprit de Mathieu, il n’est pas un enfant battu, il est juste puni. De quoi ? Je vous laisse le découvrir…

Pour information, le roman papier est en prévente sur le site d’Anaïs W du 8 septembre au 16 septembre 2018, voici le lien : https://boutique.anaisw.com/prevente-juste-puni/

Quant à l’ebook, il sera en prévente sur Amazon du samedi 22 au vendredi 29 septembre, jour de sa sortie.

Mes vacances bretonnes : une semaine très prolifique au niveau lecture !

Oui, il y a d’abord eu la pluie… deux jours, mais en Bretagne, il y a aussi du soleil. Si, si, je vous assure, pas de plomb, mais tout de même. Au moins cela nous a permis d’échapper un peu à la canicule qui sévissait dans le reste de l’Hexagone pendant la même période.

J’ai donc lu, beaucoup, énormément. Que dis-je, j’ai dévoré, ce qui m’a permis de faire plein d’autres choses pendant ce séjour à Carnac. J’ai tellement lu que je ne me voyais pas faire un article pour chacune de mes lectures, d’où cet article hyper long qui les regroupera toutes.

Mes découvertes livresques en Bretagne furent donc :

  • Mélissa, sac à gras de Carène Ponte

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Je n’ai donc pas trop tardé à boucler la boucle, j’ai désormais lu TOUS les romans de Carène Ponte, et celui-ci m’a particulièrement touchée…

Quatrième de couverture :

C’est l’histoire d’une adolescente sans doute un peu trop ronde, sans doute un peu trop fragile. 
C’est l’histoire d’un nouveau lycée, des yeux qui dévisagent, des yeux qui jugent, des yeux qui raillent. 
C’est l’histoire d’un professeur d’allemand qui accompagne, qui réconforte, qui séduit. 

Melissa, 17 ans, suit ses parents dans une nouvelle ville, une nouvelle maison, un nouveau lycée. Année de terminale sur la corde raide. Année charnière entre dégoût de soi, perdition et renaissance. 

Mon avis (sur Amazon) :

Une lecture qui m’a chamboulée. Mélissa… cela pourrait être nous et sans doute que son histoire pourra faire écho à celle de beaucoup d’adolescentes. En tout cas, certaines choses m’ont parlée personnellement. J’ai été très touchée, voire même carrément bouleversée par certains passages. Un sujet tristement d’actualité : le harcèlement, la méchanceté gratuite… Heureusement, il y a l’amitié, parfois la famille… mais dans la réalité pas toujours…
Un roman que j’ai dévoré en quelques heures, mais j’ai mis un certain temps à me remettre de mes émotions… toutes personnelles.

  • La clé du bonheur de Séverine Vialon

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La clé du bonheur est en lice pour le Prix des auteurs inconnus, dans la catégorie réalisme, tout comme mon roman Ces oiseaux qu’on met en cage. C’est en discutant avec son auteure que je m’en suis rendu compte… et que je me suis aperçu que je l’avais acheté il y a bien longtemps sans l’avoir encore lu. Oubli réparé !

Quatrième de couverture :

Le bonheur ? Qui est-il ? Comment le trouver ? Est-on sûr de l’avoir atteint ?
Virginie, jeune bibliothécaire, a pour seule passion de tenir compagnie aux vieilles dames de son village, six compagnonnes qu’elle rejoint tous les soirs.
Pourtant, une rencontre va perturber cet équilibre qu’elle croit être son bonheur.
Pourquoi l’oblige-t-on à remettre toute sa vie en question ? 

Une histoire d’amour impossible due à un passé douloureux.

Un homme qui tient à sa tranquillité et qui ne veut plus entendre parler d’amour…
Une femme qui ne trouve le bonheur que dans le service à la personne, combattant la solitude des personnes âgées…
Une rencontre qui va provoquer des étincelles et entamer un combat pour la clé du bonheur.

Mon avis :

Une histoire émouvante qu’on a du mal à lâcher. J’avais depuis longtemps ce livre dans ma PAL et c’est grâce à un échange avec l’auteure elle-même que j’ai décidé d’en faire enfin la découverte… et je ne le regrette pas.
J’aime énormément les récits dans lesquels les liens intergénérationnels sont présents, cette solidarité qui se fait malheureusement rare de nos jours. Alors bien sûr lorsque l’histoire s’accompagne d’un secret, très bien gardé (même si l’intuition nous pousse vers l’évidence), alors on se dit que les ingrédients sont là pour nous faire passer un bon moment où se mêlent la tendresse, la générosité, l’envie de s’en sortir pour mieux se reconstruire.
Aucune fausse note dans cette plume juste et douce. Je lirai avec plaisir d’autres livres de cette auteure… ça tombe bien, j’en ai un autre dans ma PAL.^^

  • Tout peut arriver ou presque de Sonia Dagotor

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C’est toujours un plaisir de lire les romans de Sonia : rires et émotions garantis !

Quatrième de couverture :

A l’issue d’un entretien d’embauche, Élisa erre dans la rue du Faubourg-Poissonnière, connue pour ses nombreux magasins de robes de mariée. Face à la robe de ses rêves, elle décide qu’elle n’attendra pas que son compagnon lui fasse sa demande. C’est elle qui la fera !
Alors qu’elle passe la soirée à imaginer ses noces, son futur mari rentre à l’aube, couvert de traces de rouge à lèvres.
Une dispute éclate et Élisa s’en va. C’est ainsi qu’elle s’embarque dans une aventure improvisée, dans laquelle tout peut arriver ou presque.

Mon avis :

Un roman pétillant, drôle et touchant. Une jolie palette de personnages, des liens qui se tissent au gré du pèlerinage d’Élisa, une Amélie Poulain en herbe qui passe dans la vie de ces êtres et verse un peu de sa poussière magique sur leurs vies. Un très agréable moment de lecture !

  • Ceci n’est pas une banane de Céline Theeuws

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Ah ! la plume de Céline Theeuws, quel délice !

Quatrième de couverture :

Sixtine, fraîchement arrivée à Paris pour vivre la vie d’une vraie Parisienne, va voir son rêve se briser. Ses nouveaux collègues vont faire d’elle leur souffre-douleur. Insultes et coups-bas vont devenir son lot quotidien, un message envoyé à son corps qui va doucement fondre, jusqu’à se laisser dépérir. Ses bourreaux resteront-ils impunis ? Aura-t-elle la force de se venger ? Une chose est sûre, sa vie changera à jamais… 

C’est un roman. 
Un roman épicé. 
Assaisonné de jalousie. 
Peint d’amertume, coloré et engagé. 
Avec un doigt d’humour. 

C’est l’histoire d’un corps qui va se désagréger face à la méchanceté. 
L’histoire d’une femme qui va plier sous le poids du silence. 
La réalité d’un corps. 
Une réalité dérangeante. 
Une histoire fondée sur des faits réels… 

Mon avis :

Une héroïne atypique. Lorsque je commence un roman de Céline Theeuws, je sais que je sors de mes lectures habituelles, mais je suis toujours autant séduite par cette plume juste, cette excellente maîtrise de la langue française. Les personnages principaux de ses romans sont toujours uniques, atypiques, les sujets abordés donnent toujours matière à réflexion et ici la couverture est même délicieusement impertinente. Dans ce récit, on a une foule d’informations sur des tas de sujets différents (peut-être trop ?), preuve des recherches approfondies effectuées par l’auteure et de ses amples connaissances, on apprend donc et on réfléchit aussi. J’avoue également que l’apparente passivité de Sixtine m’a quelque peu déroutée, mais n’oublions pas que nous sommes tous différents et que nous ne réagissons pas de la même façon selon nos sensibilités.

  • La raison du coeur de Nicholas Sparks

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Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas emprunté de livres à la bibliothèque de ma commune. La dernière fois que je m’y suis rendue, c’était pour y déposer mes cinq romans qui sont régulièrement empruntés, à mon grand bonheur !!! (fin de la parenthèse^^)

Quatrième de couverture :

A Boone Creek, dans le petit cimetière de Cedar, de mystérieuses lumières apparaissent parfois lorsque la nuit tombe. Selon de vieilles légendes, elles seraient la manifestation d’esprits errants et belliqueux. Ambitieux, le maire a fait figurer ce phénomène dans la liste des attractions touristiques de sa ville. Phénomène surnaturel ou publicité ?

Journaliste scientifique de renom et homme meurtri par un douloureux divorce, Jeremy ignorait qu’en gagnant la petite ville de Boone Creek pour enquêter sur des phénomènes étranges, c’était en fait l’amour qu’il allait découvrir…

Mais la belle Lexie, elle aussi éprouvée par une liaison difficile, se montre tout d’abord méfiante envers cet étranger, à la fois intrigant et sensible. Sa confiance sera difficile à gagner. Sauront-ils, l’un et l’autre, laisser parler leur coeur ?

Jeremy croit enfin tenir la vérité sur les phénomènes de Cedar lorsque Lexie disparaît…

Mon avis :

Un bon moment de lecture, mais sans plus… J’ai lu beaucoup de romans de cet auteur, vu quelques adaptations cinématographiques également, mais La raison du coeur ne restera pas, je pense, dans ma mémoire.
Sur fond d’événements paranormaux qui n’en sont finalement pas, l’histoire d’amour en elle-même ne m’a pas touchée outre-mesure. J’ai passé un bon moment de lecture, mais sans plus.

  • Ailleurs, c’est forcément mieux de Sacha Stellie

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Toujours aussi fan !

Quatrième de couverture :

Je m’appelle Charles, j’ai trente-neuf ans. Je suis ce que certains aiment à qualifier de cynique. Un personnage outrecuidant, ostentatoire, qui fait semblant de sourire au monde, surtout aux femmes, qui a la débauche facile et le travail exigeant. J’avance ainsi dans la vie, sans encombre, avec le désavantage de ceux qui ont une belle gueule, un charisme claquant et un humour acerbe. Je suis donc aux yeux de tous ce cynique mondain qui a réussi. En réalité, je suis tout simplement un sale type. Un sale type brinquebalant, qui ne profite jamais de rien à cause de cette pathologie nauséabonde qui consiste à penser qu’ailleurs, c’est forcément mieux. Un mec qui ne vit pas parce qu’il attend quelque chose qui ne vient pas sans même savoir ce que c’est. Un sinistre individu qui écrase les gens de ses lourdes convictions, de cette détestable assurance, de son désir obsessionnel de rentabilité et de son manque viscéral de disponibilité. Un personnage égocentrique qui n’éprouve de réelle affection que pour la pierre tombale de sa mère. Un pauvre drille qui aime gagner et amasser de l’argent mais que tout l’or du monde ne parviendrait pas à rendre heureux. Un sale con en somme, mais un con lucide. » Ce roman est la percutante introspection d’un homme qui, comme tant d’autres, s’est perdu dans une existence mal choisie, un arrogant voyage dans les noirceurs des remises en question et une claquante révolution intérieure audacieuse et perçante.

Mon avis :

Encore une réussite ! Adepte des romans « tranches de vie » et grande fan de la plume de Sacha Stellie (« La vie rayée » a été un véritable coup de coeur), je ne pouvais pas passer à côté de cette nouvelle histoire. Et quelle belle histoire ! Charles pourrait paraître à certains imbuvable, moi je l’ai adoré et trouvé particulièrement touchant, parce que ce cynisme affiché cache la plus belle des sensibilités. Particulièrement émue également par la relation d’Adriano et de son fils Félix, empreinte de respect et de tendresse.
La vie est faite de rencontres, certaines aident à nous révéler et à nous changer profondément… ou du moins à révéler notre vraie sensibilité.

 

J’ai fini ma semaine en commençant Si tu crois un jour que tu m’aimes de Charlie Wat. Je vous en parle dès que je l’ai terminé^^

Bonnes vacances et hydratez-vous bien !^^

Un appartement à Paris de Guillaume Musso

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Oui, je peux le dire, je suis une grande fan de la plume de Guillaume Musso. J’ai lu l’intégralité de son oeuvre, sauf le dernier paru en avril de cette année, La jeune fille et la nuit. Je les ai tous en poche, on m’a prêté le broché d’Un appartement à Paris. Prêté… il y a plusieurs mois de cela, je l’avoue. Mais entre l’écriture, la famille et le travail, je n’avais pas trop eu le temps de m’attaquer à ce pavé… que j’ai pourtant dévoré en trois jours^^. Quand on est en vacances et qu’on vient de terminer l’écriture de son sixième roman, c’est quand même plus simple de se dégager du temps pour la lecture.

Personnellement, mes romans préférés de cet auteur restent à ce jour : La fille de papier, Et après…  et Demain. J’ai apprécié les autres, mais ils n’ont pas été des coups de coeur.

Voici le texte de quatrième de couverture d’Un appartement à Paris :

Paris, un atelier d’artiste au fond d’une allée verdoyante. 
Madeline, une ex-flic londonienne, y est venue pour panser ses blessures. 
Gaspard, un auteur misanthrope, l’a loué pour écrire dans la solitude. 
À la suite d’une méprise, ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelque temps. 
Dans l’atelier, où plane encore le fantôme de l’ancien propriétaire, Madeline et Gaspard vont mettre au jour un secret terrifiant. 
Et cette découverte glaçante va les forcer à affronter leurs propres démons dans une enquête vertigineuse qui les changera à jamais. 

Mon avis laissé sur Amazon :

J’ai lu tous les livres de Guillaume Musso, sauf le dernier paru cette année, mais ça ne devrait pas tarder. Celui-ci n’est sans doute pas mon préféré, mais il m’a embarquée comme tous les autres. Je l’avoue, j’ai mis un peu de temps à rentrer vraiment dans l’histoire jusqu’à ce que je finisse par me prendre vraiment au jeu. J’ai été davantage touchée par les personnages masculins dans cette histoire et ce, quelle que soit la noirceur qui les habite. La plume est toujours aussi bien maîtrisée, l’intrigue brillamment ficelée et les pages ont fini par défiler sans que je m’en rende compte pour arriver au bouquet final. Et quel final !

Ma prochaine lecture sera consacrée à Juste puni, le prochain roman à paraître (29 septembre 2018) de la talentueuse auteure indépendante, Anaïs W. J’ai la chance de faire partie des partenaires qui pourront lire ce bijou en avant-première. Merci de ta confiance, Anaïs ! En revanche, j’attendrai un peu pour vous dévoiler mon avis sur ce roman (avis qui sera un peu plus long, c’est normal), pour ne pas trop en dévoiler. Mais, avec l’accord de l’auteure, je livrerai quelques bribes de mon ressenti et quelques extraits sur les réseaux sociaux, ainsi que toutes les infos nécessaires pour que vous puissiez, à votre tour, vous le procurer en temps voulu.^^

Mais, n’ayez crainte, l’été est long et j’ai encore beaucoup de romans à découvrir !!!

 

Avec des Si et des Peut-être de Carène Ponte

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J’ai eu la chance de rencontrer Carène Ponte en personne, et en très bonne compagnie  (Stéphanie Pèlerin), sur le Salon du livre de Cosne-sur-Loire le 27 mai dernier (cf mon article sur mon blog auteur ici ). J’avais déjà lu deux de ces précédents romans : Un merci de trop et Tu as promis que tu vivrais pour moi, et même si j’avais d’ores et déjà son petit dernier dans ma liseuse, je ne voulais surtout pas manquer l’occasion d’avoir une petite dédicace de sa main…

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Entre parenthèses, j’adore ces petits stickers personnalisés qu’elle utilise pour ses dédicaces^^

Donc presque deux mois après cette acquisition, j’ai enfin trouvé un peu de temps pour me plonger dans « Avec des Si et des Peut-être » que j’avais très envie de lire depuis la chronique faite par Aurélie de Des Livres et Moi, que vous trouverez  .

Je vous livre donc ici la 4ème de couverture, ainsi que mon avis, le même, je le répète, que celui laissé sur Amazon.

Quatrième de couverture :

Professeur de français, Maxine vit en colocation avec Claudia (et ses crèmes au jus d’herbe fermenté), elle aime Flaubert (ses élèves, Stromae), courir avec ses deux meilleures amies (trois cents mètres) et aller chez le dentiste (sa sœur). 
Maxine croit aux signes et aux messages de l’Univers. Pourtant elle ne peut s’empêcher de se demander :  » Et si j’étais allée ici plutôt que là, si j’avais fait ceci au lieu de cela, ma vie serait-elle chamboulée ?  » 
En bonne prof de français, Maxine aime le conditionnel… 
Mais à trop réfléchir Avec des si et des peut-être, ne risque-t-on pas d’oublier de vivre au présent ? 
Et si la vie décidait de lui réserver un drôle de tour ?

Mon (humble) avis :

J’ai passé un super bon moment de lecture ! Avec des si et des peut-être… Qui ne s’est jamais posé la question de savoir ce qu’aurait été sa vie si à un instant T il avait fait un autre choix ? On doit tous être passé par cette question existentielle, mais à force de regarder vers le passé, on n’oublie parfois de vivre au présent…
Avec ce roman, j’ai ri, j’ai pleuré, je me suis posé cette fameuse question… pas bien longtemps, mais tout de même.^^ A l’instar de tous ces auteurs qui savent si bien me faire passer par plein d’émotions différentes, la plume de Carène Ponte n’a pas fait exception à la règle. J’ai été particulièrement touchée, je l’avoue, par la relation entre Maxine et Moune. Avec ce roman, la boucle est bouclée, j’ai lu tous les romans de Carène et attends avec impatience le prochain !

PS : Mais non, mazette, il m’en reste encore un à lire : Mélissa, Sac à gras !!! Oups, je réparerai bientôt mon oubli, promis !

Entre vous et moi II : Légendes, folklores et Confidences de Mandy Fabret

 

Entre vous 2

Bonjour, bonjour,

Cela fait bien longtemps que je ne suis pas passée par ici^^.

Je vous avais dit, il y a quelques temps, que ce blog allait être consacré à mes lectures et que mes activités d’auteure déménageaient. C’est chose faite. Mais comme je n’ai absolument pas la prétention de faire aussi bien que mes chères amies chroniqueuses littéraires, je me contenterai donc de reproduire ici les avis, que je laisse sur les sites marchands, sur mes lectures. Et comme je viens tout juste de terminer le Tome 2 d’Entre vous et moi, c’est donc avec ce délicieux roman de Mandy Fabret que je vais ouvrir le bal.

Je vous livre d’abord la 4ème de couverture :

Retrouvons Samantha, notre psy préférée, pour de nouvelles aventures.
Son périple nous entraine à la découverte du folklore finlandais et des légendes bretonnes et écossaises. Mêlant comme à son habitude, histoire, amour, humour et magie, elle nous conte les tribulations délirantes de ses patients. 
Embarquons à bord de son bolide et partons ensemble sur la route des confidences.

Ce fut pour moi un vrai régal ! Ce second tome des aventures de Samantha, notre psy de charme, est un merveilleux voyage à travers les contes et les légendes d’autres époques. De Merlin l’Enchanteur au monstre du Loch Ness en passant par un certain monsieur dont je tairai le nom (😉), sans oublier l’irréductible Sam le pirate, on passe un excellent moment et on n’en finit pas d’élargir ses horizons et d’apprendre.
Tout cela servi par une plume légère, drôle et fraîche qui fait un bien fou ! Vivement la suite !

Je vous recommande vivement d’aller jeter un oeil sur son premier tome, il vous aidera à garder le fil des nombreuses aventures de Sam le pirate^^.

Liens Amazon :

Tome 1

Tome 2

Romance ou littérature sentimentale ?

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Je me pose la question. Y a-t-il réellement une différence entre les deux ou l’un des termes, paraît-il seulement plus réducteur que l’autre ?

La première fois que je me suis interrogée sur le sujet, c’est quand j’ai publié Ces oiseaux qu’on met en cage. Ce n’était pas de la romance pure, même s’il y en avait un peu dans l’histoire, mais j’ai hésité à le classer dans Littérature générale, parce que j’estimais justement que c’était trop général comme catégorie. Je l’ai pourtant fait… Pendant une semaine, Ces oiseaux qu’on met en cage ont été dans la catégorie Littérature générale d’Amazon, et ça a été l’un des pires lancements au niveau des ventes, il est quasi passé inaperçu, jusqu’à ce que je le change de catégorie pour le mettre en Littérature sentimentale. Mais je ne l’ai pas fait seulement pour lui donner plus de visibilité, je l’ai fait parce qu’après réflexion, pour moi il s’agissait réellement de Littérature sentimentale sans être une Romance.

J’ai repensé à ce dilemme il y a peu quand je me suis inscrite à un groupe Facebook qui faisait la distinction entre la Romance et la Littérature sentimentale : La littérature sentimentale auto-éditée

D’après ce groupe, il s’agirait tout d’abord d’une différence d’origine des deux termes, la romance étant un terme anglophone. Pour rendre à César ce qui est à César, je vous livre ici les définitions données par ce groupe, définitions auxquelles j’adhère totalement :

– Littérature sentimentale : c’est le roman des sentiments, donc tout ce qui touche au développement des sentiments d’amour, de joie, de tristesse, d’émotion. La fin peut être bonne comme triste. On peut aussi bien parler d’amour, que des aléas dits tranches de vie de plusieurs personnes.
– La Romance (terme US) : Une romance est un type de roman d’amour développé dans certains pays anglophones, tels que les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni et l’Australie. Le terme est un anglicisme inspiré de « romance novel ». L’histoire se termine toujours par une fin heureuse. Elle n’englobe pas toutes les formes d’histoires sentimentales
.

L’ensemble de mes romans, et plus particulièrement Ces oiseaux qu’on met en cage, appartiendraient donc au genre de la Littérature sentimentale, même si ma trilogie se rapproche davantage de la Romance au sens strict. Dans Ces oiseaux qu’on met en cage, on peut trouver toute une palette de sentiments : l’amour, qu’il soit filial ou provenant d’une relation de couple, la tristesse, la colère, le désespoir… l’espoir et certainement bien d’autres. Si mes oiseaux apparaissent dans la catégorie Romance contemporaine d’Amazon, ce n’est pas de mon fait, je me suis limitée à les intégrer dans Littérature sentimentale, sous-catégorie Contemporain. C’est donc Amazon qui fait l’amalgame entre les deux termes qui, je l’avoue, sont tout de même très liés.

Alors, Romance ou Littérature sentimentale, est-ce un faux débat ? J’aime à croire que non. J’apprécie de lire de la romance autant que de la littérature sentimentale, pour moi les deux acceptions se valent, mais il existe bel et bien une différence, même si elle est ténue.

Auteurs auto-édités : de découverte en découverte

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Je m’excuse par avance auprès des auteurs qui ne seront pas cités dans cet article, pas parce que je n’apprécie pas leurs œuvres mais parce que je ne connais malheureusement pas encore tous ces auteurs et que je me limiterai ici à ceux que j’ai lus.

Jusqu’à il y a quelques mois, je n’avais jamais lu de romans d’auteurs auto-édités au sens strict, c’est-à-dire des auteurs qui n’ont pas été publiés par le biais de l’édition dite traditionnelle. J’avais bien dévoré les livres d’Agnès Martin-Lugand et d’Aurélie Valognes qui viennent de l’autoédition et qui sont désormais publiées dans des maisons d’édition renommées, mais pas ceux qui sont restés des auteurs indépendants, par choix ou non d’ailleurs.

Honte à moi ! Il y a tellement de perles parmi les romans de ceux-ci que je regrette de ne pas les avoir lus plus tôt ! J’avoue que je ne me serais peut-être pas penchée sur ces trésors si je n’avais pas été moi-même auto-éditée. Ce statut m’a ouvert des portes, m’a permis de rencontrer, virtuellement, de superbes auteurs, de lire de magnifiques histoires pleines d’émotions, des romans haletants bourrés de suspense, des récits drôles et pleins de fantaisie, des romans qui incitent à la tolérance et au respect d’autrui…

Tous les auteurs auto-édités que j’ai lus mériteraient d’être davantage connus et reconnus parce que leur plume est agréable, l’histoire qu’ils racontent, prenante, bien plus que certains romans édités traditionnellement que j’ai pu lire.

Pour ne parler que de ceux dont j’ai eu la chance de découvrir l’œuvre, je vous citerai Flo Renard, Sam Carda, Stéfanie Hodier, Nina Frey, Lucie Renard, Olivier Saraja, Amélie B, Laure Manel (éditée depuis peu chez Michel Lafon), Laura D, Anne Circé, Laurent Leoncini…

J’ai encore beaucoup d’auteurs à découvrir et de genres littéraires à explorer, ma pile à lire ne fait que grossir de jour en jour… ça tombe bien, j’ai un appétit livresque dévorant en ce moment !

En attendant, je ne peux que vous conseiller, si ce n’est déjà fait, de vous reconvertir en chercheur d’or, car l’auto édition regorge de pépites ! Et si vous-même avez une belle histoire qui traîne dans un tiroir, n’hésitez plus, lancez-vous dans l’aventure !

Vous souvenez-vous de vos premières lectures ?

Pour l’article d’aujourd’hui, je vais faire appel à vos souvenirs livresques. Vous vous souviendrez sans doute plus facilement du premier livre que vous avez lu selon votre âge, la qualité de votre mémoire ou l’impact qu’a eu ce livre sur vous.

Vous dire quelle a été ma toute première lecture relève de la gageure. En effet, la lecture n’a pas toujours été mon passe-temps préféré, je trouvais même cette activité plutôt ennuyeuse, je l’avoue. J’ai donc fait mes premières armes, comme beaucoup d’enfants, avec la bibliothèque verte. De mémoire, le tout premier devait être Les six compagnons et la disparue de Montélimar de Paul-Jacques Bonzon.

Disparue Montélimar

Je n’ai aucun souvenir de l’histoire, ça remonte à loin. Mais c’est sans doute la série qui m’a donné le goût de la lecture car j’en possédais plusieurs et je les ai encore.

J’ai enchaîné avec quelques exemplaires de « Fantômette » de Georges Chaulet (Bibliothèque rose) qui avaient la préférence de mes deux sœurs. Je leur en empruntais donc de temps en temps.

Puis je suis rentrée au collège (oui, je sais, ça date^^). Ma prof de français de cinquième a été la première à nous demander de rédiger une fiche de lecture. Inutile de vous dire qu’il fallait choisir une autre lecture que la Bibliothèque verte ou rose. J’ai donc farfouillé dans la bibliothèque personnelle de mes parents et j’ai choisi mon tout premier livre de plus de 200 pages : Le Grand Meaulnes d’Alain-Fournier. Ce fut un premier pas dans un récit avec une part d’imaginaire.

Grand Meaulnes-min

 

Je pense l’avoir apprécié à l’époque puisqu’il a fini par échouer chez moi, tout comme le roman de ma seconde fiche de lecture, La cicatrice de Bruce Lowery. Un récit poignant sur Jeff, un jeune garçon né avec un bec de lièvre, qui vient d’emménager avec ses parents et son petit frère dans une nouvelle ville. Il va être victime de railleries de la part de ses nouveaux camarades d’école. Un vaste sujet sur l’intégration scolaire et le harcèlement toujours d’actualité.

La cicatrice-min

 

Après cette lecture, je me suis beaucoup intéressée aux romans traitant d’enfants en difficultés. J’étais une grande fan des livres de Torey L. Hayden, une pédopsychologue de formation.

Quelques années plus tard, j’ai eu un véritable coup de cœur pour L’Alchimiste de Paulo Coelho, un conte philosophique relatant le voyage initiatique d’un jeune berger. Il reste une de mes lectures favorites.

Alchimiste-min

Pendant mes études de droit, j’ai eu une grosse période « romans policiers ». Je m’intéressais à tout ce qui était médecine légale et profilage, c’est donc tout naturellement que j’ai dévoré la grande majorité des romans de Patricia Cornwell. L’héroïne Kay Scarpetta m’a longtemps poursuivie !

Depuis quelques années, j’ai complètement changé de genre littéraire. Je lis plus de littérature sentimentale, des grands romans dans lesquelles les femmes vivent des drames et en ressortent plus fortes, beaucoup de romans feel-good. J’aime les belles histoires, mais pas forcément celles qui finissent bien. Si vous avez lu mes précédents articles, vous connaissez mes auteurs de prédilection, je ne vous en reparlerai donc pas ici.

Ce qui serait vraiment sympa, c’est d’avoir un retour sur cet article. J’aimerais beaucoup savoir quelles lectures ont marqué les lecteurs de ce blog et ceux de mes romans. Alors n’hésitez pas à laisser un petit commentaire pour me dire tout ça. Je partage toujours mes articles sur Twitter et sur ma page auteur Facebook, vous pouvez donc aussi me faire part de vos lectures par ce biais.

La vérité sur l’Affaire Harry Quebert par Joël Dicker

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Après une pause de plusieurs semaines (je m‘étais arrêtée, souci articulaire oblige, à la page 331 du format poche des Editions De Fallois), j’ai terminé ce pavé palpitant en deux jours. Deux jours où je n’ai quasiment pas lâché ce roman jusqu’à la dernière page, c’est-à-dire, la 855ème

Les débuts ont été laborieux, j’avais un peu de mal à m’immerger dans l’histoire, j’avais hâte que l’auteur rentre enfin dans le vif du sujet, à savoir, les faits ayant conduit à la disparition de la jeune Nola Kellergan. Moi qui, habituellement, n’est pas une fan des flashbacks à répétition, je les ai tous attendus avec impatience. En effet, dans cette histoire, les flashbacks permettent de démêler l’intrigue et de voir le déroulement de l’histoire à travers les yeux des différents personnages qui sont, somme toute, assez nombreux.

Bien que le roman soit assez long, il se lit vite parce que le rythme est tellement effréné, les rebondissements tellement nombreux, qu’on n’arrive pas à le lâcher. On veut savoir le fin mot de l’histoire. Qui a aimé qui ? Qui a écrit quoi ? Qui a tué qui ? Que cachent tous ces personnages ? Quelle est la vérité sur l’affaire Harry Quebert ? Je dirais même plus, qui est réellement Harry Quebert ?

Je ne lisais de romans policiers qu’occasionnellement depuis plusieurs années, ma lubie Patricia Cornwell et Mary Higgins Clark m’étant passée depuis belle lurette, mais je pense que ce livre m’a fait renouer avec le genre, même si ce roman est bien plus qu’une intrigue policière.

C’est dans ce livre que j’ai découvert cette citation que je trouve, ô combien vraie, et qui s’applique tout à fait à ce que j’ai ressenti quand j’ai refermé ce livre : « Un bon livre […] est un livre que l’on regrette d’avoir terminé ».

Le Prix Goncourt des lycéens 2012 et le Grand Prix du roman de l’Académie Française sont largement mérités. A quand l’adaptation cinématographique de ce chef d’œuvre ?…

Je vous livre ici la quatrième de couverture :

À New York, au printemps 2008, alors que l’Amérique bruisse des prémices de l’élection présidentielle, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, est dans la tourmente : il est incapable d’écrire le nouveau roman qu’il doit remettre à son éditeur d’ici quelques mois. Le délai est près d’expirer quand soudain tout bascule pour lui : son ami et ancien professeur d’université, Harry Quebert, l’un des écrivains les plus respectés du pays, est rattrapé par son passé et se retrouve accusé d’avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison. Convaincu de l’innocence de Harry, Marcus abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener son enquête. Il est rapidement dépassé par les événements : l’enquête s’enfonce et il fait l’objet de menaces. Pour innocenter Harry et sauver sa carrière d’écrivain, il doit absolument répondre à trois questions : Qui a tué Nola Kellergan ? Que s’est-il passé dans le New Hampshire à l’été 1975 ? Et comment écrit-on un roman à succès ? Sous ses airs de thriller à l’américaine, La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert est une réflexion sur l’Amérique, sur les travers de la société moderne, sur la littérature, sur la justice et sur les médias.

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